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Le bureau Assis Debout, un indispensable dans les entreprises en 2025

Le bureau Assis Debout, un indispensable dans les entreprises en 2025

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Le bureau Assis Debout n’est plus réservé à quelques pionniers de la QVT. Télétravail, santé mentale, prévention des TMS… Les entreprises performantes l’ont intégré comme un standard. Voici pourquoi celles qui attendent prennent déjà du retard.

Sommaire

    Le bien-être au travail. Tout le monde en parle. Tout le monde veut le faire. Mais passer du babyfoot à la cantine à un vrai travail sur le moral et le physique des équipes, c’est une autre histoire. C’est moins visible. Beaucoup plus complexe. Et pourtant, c’est là que tout se joue.

    Où en est réellement le bien-être au travail en 2025 ? Pourquoi certaines entreprises ont compris que l’ergonomie, et notamment le recours au bureau Assis Debout, n’est plus un luxe, mais une norme ? Et qu’est-ce qui freine celles qui n’ont pas encore franchi ce cap ? Etat des lieux.


    Repenser le travail à l’ère post-Covid

    Pour le télétravail, 2020 a imposé un test grandeur nature. Du jour au lendemain, des millions de salariés se sont retrouvés à travailler depuis chez eux. Pour beaucoup, c’était inédit. Pour tous, c’était révélateur.

    Tout d’abord, les travailleurs ont vite découvert qu’un ordinateur portable posé sur la table du salon ne suffisait pas à créer un espace de travail confortable. Sans un vrai poste de travail, la fatigue et les douleurs arrivent vite. Résultat : certains professionnels ont investi eux-mêmes dans un fauteuil ergonomique, un bureau réglable, un écran secondaire… Une action motivée par le fait que leurs postes de travail étaient à la fois leur lieu de travail, mais aussi de loisir !  Aujourd’hui, il n’est pas rare que leur installation à domicile soit plus confortable que celle proposée au bureau.

    Le télétravail a aussi changé la perception du temps et de l’équilibre vie pro / vie perso. Fini deux heures de trajet quotidien. Plus de repas forcés au self. Des économies concrètes, en argent, en temps et en énergie, qui améliorent la qualité de vie.

    En 2020, près de 30 % des salariés français étaient en télétravail régulier. En 2025, le chiffre est plus bas, mais reste solidement ancré. Et surtout, il s’accompagne d’une attente forte : si l’on doit revenir au bureau, ce n’est pas pour perdre en confort.


    Burn-out, bore-out, dépression : quand le travail n’épanouit plus

    Le malaise psychologique au travail n’est plus marginal. Près de 40 % des salariés français signalent un niveau de souffrance ou de stress élevé. Parmi eux, environ 34 % sont en burn‑out, dont 13 % en burn‑out sévère… soit plus de 2,5 millions de personnes.

    Ces souffrances ne se limitent plus au burn‑out. Le bore‑out, épuisement par l’ennui ou l’absence de sens, grimpe aussi. Conséquence ultime de ce que David Graeber appelle “les bullshit jobs”, le bore-out affecte les travailleurs du tertiaire, parfois peu occupés, mais psychologiquement démotivés. Le résultat ? Désengagement, perte de motivation, voire dépression.

    La Génération Z ne garde pas le silence sur ces sujets. Elle parle sur les réseaux de santé mentale, de droit à la déconnexion, d’équilibre vie pro–perso. Elle ne veut plus de gadgets en mode "babyfoot", mais des environnements de travail réellement pensés pour le bien-être, ergonomie incluse.

    Pour les entreprises, les effets sont tangibles :

    • des absences et des arrêts de travail, souvent pour raisons psychologiques, qui coûtent cher ;

    • un boom du quiet quitting, avec des salariés qui s’en tiennent strictement à leur fiche mission sans jamais vouloir s’investir réellement ;

    • et, dans un marché tendu, des talents qui choisissent les entreprises repérées comme éthiques, responsables, investies dans la qualité de vie. Quitte à claquer la porte si les conditions actuelles ne leur conviennent pas.


    TMS, maladies chroniques : quand le travail fait mal

    Mais pourquoi a-t-on tant de mal à évoquer la pénibilité au travail et la QVT (qualité de vie au travail) ? Certainement parce que l’on se dit souvent que les risques physiques, c’est pour l’usine. Faux.

    Passer plus de huit heures assis, à répéter les mêmes gestes, peut abîmer un corps autant qu’un travail manuel. La différence, c’est que la douleur est plus silencieuse. Et qu’on la prend souvent au sérieux… trop tard.

    Les troubles musculo-squelettiques (TMS) représentent aujourd’hui près de 87 % des maladies professionnelles en France. En 2019, on en dénombrait plus de 44 000 cas reconnus, principalement des lombalgies, tendinites et douleurs cervicales. Au total, ils sont responsables de millions de journées de travail perdues chaque année, pour un coût qui se chiffre en milliards d’euros.

    Pour l’entreprise, l’impact est double. Financier, avec des coûts directs pouvant dépasser 20 000 € par cas. Humain, avec des équipes amputées, du turnover et un climat de travail dégradé.

    Le pire ? La sous-déclaration reste massive. Selon Santé Publique France, la moitié des TMS ne sont tout simplement pas signalés. Ce qui veut dire que l’ampleur réelle est bien supérieure aux chiffres officiels.

     

    Le bureau Assis Debout : un investissement, pas une dépense

    Un bureau Assis Debout se règle en hauteur, manuellement ou électriquement, ce qui permet d’alterner travail assis et debout. Simple sur le papier, révolutionnaire dans la pratique.

    Un bureau Assis Debout manuel (pieds et plateau) se situe autour de 300 à 500 €. Un modèle électrique haut de gamme, entre 600 et 1 000 €. C’est un budget. Mais c’est aussi un coût qui se rentabilise vite. Moins de TMS, moins d’arrêts maladie, plus d’énergie et de concentration. 

    Et ce, sans parler de l’effet “marque employeur” : les jeunes générations ne se contentent plus d’une belle adresse ou d’un salaire correct, elles scrutent le cadre de travail. Offrir un poste adapté, c’est envoyer un message clair : “On prend soin de vous, et on investit dans votre santé”. Et contrairement aux gadgets QVT, c’est un équipement utilisé tous les jours, toute l’année.

    Alors certes, le bureau Assis Debout ne remplace pas la marche, mais il réapprend à bouger. Avec des cycles simples, comme la méthode 20-8-2 (20 minutes assis, 8 minutes debout, 2 minutes en mouvement), on casse la routine de la sédentarité et on réduit le risque de douleurs chroniques. Histoire de ne pas finir comme Emma, cette travailleuse de 2040 décrite par l’équipe de William Higham, qui est loin de faire rêver : stress, dos courbé, varices, maladies chroniques… 

    Le bureau Assis Debout, de la niche au standard

    Chez AUM WORLD, nous travaillons depuis le début au service des entreprises. Et ce virage QVT, nous l’avons vu se produire sous nos yeux.

    Il y a quelques années, le service client était sollicité de temps en temps pour équiper un collaborateur sur avis médical. Une lombalgie, une hernie discale, le tout accompagné d'un certificat médical… C’était rare, presque exceptionnel.

    Aujourd’hui, c’est devenu fréquent. Très fréquent. Les demandes liées à un problème de santé explosent. Et c’est bien là le problème : attendre qu’un collaborateur souffre pour agir.

    Un bureau Assis Debout n’est pas seulement un outil de compensation. C’est un outil de prévention. Il s’adapte à chaque utilisateur, réduit la sédentarité et aide à préserver la santé avant que la douleur ne s’installe.

    Dans les entreprises performantes, ce n’est plus une option. C’est un standard. Un équipement aussi indispensable qu’un écran ou un fauteuil ergonomique. L’ignorer, c’est laisser ses équipes accumuler de la fatigue, du stress physique… et prendre du retard sur les standards modernes de travail.

     

    Le bien-être au travail ne se résume plus à quelques gestes symboliques. Les entreprises performantes ont compris qu’il passe par des choix structurels, visibles et durables.

    Le bureau Assis Debout en fait partie. C’est un outil de santé, de performance et d’image. Ne pas l’adopter aujourd’hui, c’est accepter de travailler avec des standards d’hier.

     

    Sources 

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