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Un bureau Assis Debout consomme-t-il beaucoup d’électricité ?
A l’heure où beaucoup cherchent à réduire leur consommation d’énergie, le bureau Assis Debout peut être perçu comme un gadget énergivore de plus. Spoiler alert : ce n’est pas franchement le cas.
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Prendre soin de son dos, c’est important. Mais pas en faisant l’impasse sur la santé de la planète ! A l’heure où beaucoup cherchent à réduire leur consommation d’énergie, le bureau Assis Debout peut être perçu comme un gadget énergivore de plus. Spoiler alert : ce n’est pas franchement le cas. L’heure est donc à la chasse aux idées reçues : combien consomme réellement un bureau Assis Debout ? On fait le point, chiffres à l’appui.
Un bureau Assis Debout électrique consomme-t-il beaucoup ? Parlons chiffres.
Prenons le cas d’un usage intensif. On parle ici d’un utilisateur qui travaille 8 heures par jour (ça vous rappelle quelqu’un ?), 5 jours par semaine, toute l’année (moins 5 semaines de vacances, tout de même). Admettons maintenant que cette personne soit équipée d’un bureau Assis Debout ADVANCED GO ou ADVANCED PRO, et qu’elle l’utilise toutes les heures pour changer de position. Admettons également que cette personne charge son téléphone toute la journée sur sa console de commande via le port USB. Ça vous paraît beaucoup ? Voyons maintenant ce que ça donne en consommation réelle.
Les moteurs des bureaux AUM WORLD sont conçus pour être puissants… mais sobres, d’un point de vue énergétique. Une montée ou descente consomme autour de 0,1 Wh. Donc sur une journée avec huit cycles complets, on est à peine à 1,6 Wh. À l’échelle de l’année, cela représente moins de 0,4 kWh. Autrement dit : rien du tout.
Et le port USB ? Là encore, pas de mauvaise surprise. Charger un téléphone portable sur le bureau ou sur une prise murale revient au même : c’est le portable qui consomme, pas le bureau. On peut estimer une charge lente quotidienne autour de 40 Wh. Sur l’année, cela représente environ 9,4 kWh. Pour donner un ordre d’idée, c’est l’équivalent de deux cycles de sèche-linge. Enfin, même en veille, la consommation reste négligeable : 0,1 W. En cumulé, cela ajoute moins de 0,2 kWh par an.
Bilan total de la facture ? Autour de 10 kWh par an en usage intensif… soit environ 2 euros sur une facture d’électricité.
Le bureau Assis Debout manuel : zéro conso, zéro souci
Envie d’aller plus loin ? Pour ceux qui visent une consommation d’énergie strictement nulle, il existe une alternative : le bureau Assis Debout manuel, comme le modèle HANDY GO de AUM WORLD.
Pas de moteur, pas de câble, pas de problème. La hauteur se règle à l’aide d’une manivelle. Résultat : aucune consommation électrique, même en usage quotidien. C’est une option intéressante pour les espaces sans accès facile à une prise, ou pour ceux qui veulent un bureau mobile et totalement autonome. Le bureau Assis Debout est également un excellent choix dans certains environnements professionnels où le poste de travail change régulièrement d’utilisateur (open spaces flex, zones hotdesk, coworkings…).
Cela dit, le bureau manuel reste plus contraignant à l’usage, même s’il ne demande pas d’effort : moins fluide, moins rapide, et rarement aussi précis qu’un bureau motorisé bien conçu. Dans une mauvaise configuration, le geste peut finir par décourager les changements de position fréquents.
En résumé, si vous cherchez la sobriété énergétique absolue, le bureau Assis Debout manuel reste LA solution par excellence… mais au prix de quelques concessions sur le confort d’utilisation. Le modèle motorisé reste cependant le meilleur compromis pour celles et ceux qui veulent bouger sans effort, tout en gardant un impact énergétique minime.
Ce qui consomme vraiment au bureau (et à la maison)
Quand on commence à s’interroger sur sa consommation d’énergie, le réflexe est souvent de regarder du côté des équipements récents ou motorisés… comme le bureau Assis Debout ! Mais dans les faits, ce n’est pas là que se jouent les économies d’énergie les plus significatives.
Un poste de travail moderne, c’est surtout un enchaînement d’appareils branchés en continu : ordinateur, écran, chargeurs, imprimante… et parfois chauffage ou ventilateur individuel. C’est là que se trouvent les véritables postes de dépense.
À titre d’exemple, un ordinateur fixe consomme facilement entre 200 et 400 Wh par jour. Sur une année de travail, cela peut dépasser les 100 kWh. Ajoutez à cela deux écrans, et vous grimpez de 50 à 100 Wh supplémentaires par jour. Même éteints, les appareils en veille (imprimantes, chargeurs, bornes Wi-Fi, etc.) continuent de tirer de l’énergie en continu. Et que dire du chauffage d’appoint, souvent utilisé dans les bureaux mal isolés ? Un petit radiateur électrique de 1 000 W allumé une heure par jour consomme, à lui seul, autant en une semaine que votre bureau assis debout sur toute l’année.
Côté maison, les ordres de grandeur sont tout aussi révélateurs. Un lave-vaisselle consomme 200 à 300 kWh par an. Un réfrigérateur, 150 à 300 kWh. Une plaque de cuisson électrique monte à plus de 2 000 W dès qu’on prépare un repas. Même un décodeur TV en veille peut dépasser 20 kWh par an.
Le bon réflexe éco-responsable : cibler les vrais leviers
Plutôt que de se focaliser sur des équipements à faible impact, mieux vaut se concentrer sur les postes qui comptent vraiment :
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couper les veilles inutiles,
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choisir du matériel informatique moins énergivore,
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mieux régler son chauffage (et mieux isoler !),
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… et surtout, connaître ses consommations.
L’ADEME met à disposition un outil simple et gratuit pour estimer ce que chaque appareil consomme, poste par poste : https://ecoclic.ademe.fr/
Même en usage intensif, la consommation annuelle d’un bureau Assis Debout à deux moteurs reste dérisoire, de l’ordre de 10 kWh par an, soit moins de 2 € sur une facture d’électricité. À l’heure où l’on cherche à concilier bien-être au travail et sobriété énergétique, c’est justement ce type d’équipement qui a du sens : un outil utile, durable, conçu pour durer et pensé pour bouger. Et dans le cas d’un standing desk AUM WORLD, avec des plateaux made in France et une conception de qualité, le calcul est simple : améliorer la posture sans alourdir son impact.
Alors non, le bureau Assis Debout n’est pas un luxe coupable. C’est un choix raisonnable, pour soi — et pour la planète.